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Pleine mère, les abysses s'agitent et tremblent...le paysage intérieur se fait barrière de corail pour protéger les bancs de moissons...
L'ondulation , l'oscillation du fœtus dans les profondeurs de la haute mère...Noire..
Bercée entre ses cotes, dans le liquide salin, à l'antre de son anse, j'aperçois l'horizon.
Entre les rochers, le long du golfe sombre, fruit de mère éclaboussé de sang j'échoue sur la rive stable ...,
Coquillage anonyme couché contre le ventre las des lagunes. En sécurité dans ce bras de mère...
Mère des Antilles, aux oniriques scolopendres, senteurs de coco et d'embruns mêlés, sur le dos velu d'une mygale, ma Mère de Corail toute engloutie de couleurs, d'infinis récifs, d'étoiles mouvantes...
J'ai sillonné toutes les mères du Sud, leurs étroits détroits, leur accent qui roule comme un isthme, je connais les golfes de leurs girons chauds, leurs cris d'albatros maladroits, leurs aqueuses fantaisies. J'habitais les mères chaudes.
La mère Rouge, la mère bouge...dans d'infâmes bouges la mère voit pourpre et tu rougis sous ses coups...la mère Rouge...la mer et jets, la mer et geais, et j'ai la mère Égée sous la plume, sous la gorge.
La mère Noire, tannée par le soleil d'Alger, ma mère berbère au regard d'onyx...regard de poix, le poids de ses pupilles opalines ..Ma mère Noire...
La mère basse écume en murènes, en anémones carnivores, son mugissement annonce les chevaux, la tempête...
Sept ans jetée en mère sans sextant ni boussole...
Toutes amarres lâchées, Sable, Écume, Embruns, Abysses, Flux.
Paraphrasant le voyant, je me suis tout entier baigné dans le poème de la mère.
Scaphandrière toute éméchée d'algues subtiles, j'ai sondé ses abysses...
Disparue en mère...sans balises...
Et le regard du phare se fait sévère tandis que je persévéré...à me perdre en mère....marinée dans le raz-de-marée, aimantée par le mal de mère.
J'ai bu la mère et les poissons, ses bancs de requins marteaux, de murmurantes murènes, murailles de misère...
Mettre sa goutte d'eau dans la mère...autant vider la mère à la petite cuillère, si le tourteau n'a pas coupé l'ombilic naufragé.
Ma Mère de Thrace s'évapore sans trace, un dernier poème, l'adieu de la page blanche, Mère de Timor, silence quand t'es mort....La mère se retire, elle emporte ses bancs de requins, ses marées basses, ses trésors enfouis, épaves flottantes...
Écumé terres et mers, pères et mères...
Échouée sur d'antiques iles bondées d'histrions mâchouillant les rayons solaires, ventre bombé sur le sable souillé d'insolentes crèmes isolantes...
Naviguer Outre-mère...
Boussoles arrêtées, sextants entravés par d'antiques algues salines...
Au delà des mères, il y a encore le continent, à découvrir incontinent...les terres stériles, fertiles...fascinants mammifères terrestres à terrasser, à apprivoiser...
L'ondulation , l'oscillation du fœtus dans les profondeurs de la haute mère...Noire..
Bercée entre ses cotes, dans le liquide salin, à l'antre de son anse, j'aperçois l'horizon.
Entre les rochers, le long du golfe sombre, fruit de mère éclaboussé de sang j'échoue sur la rive stable ...,
Coquillage anonyme couché contre le ventre las des lagunes. En sécurité dans ce bras de mère...
Mère des Antilles, aux oniriques scolopendres, senteurs de coco et d'embruns mêlés, sur le dos velu d'une mygale, ma Mère de Corail toute engloutie de couleurs, d'infinis récifs, d'étoiles mouvantes...
J'ai sillonné toutes les mères du Sud, leurs étroits détroits, leur accent qui roule comme un isthme, je connais les golfes de leurs girons chauds, leurs cris d'albatros maladroits, leurs aqueuses fantaisies. J'habitais les mères chaudes.
La mère Rouge, la mère bouge...dans d'infâmes bouges la mère voit pourpre et tu rougis sous ses coups...la mère Rouge...la mer et jets, la mer et geais, et j'ai la mère Égée sous la plume, sous la gorge.
La mère Noire, tannée par le soleil d'Alger, ma mère berbère au regard d'onyx...regard de poix, le poids de ses pupilles opalines ..Ma mère Noire...
La mère basse écume en murènes, en anémones carnivores, son mugissement annonce les chevaux, la tempête...
Sept ans jetée en mère sans sextant ni boussole...
Toutes amarres lâchées, Sable, Écume, Embruns, Abysses, Flux.
Paraphrasant le voyant, je me suis tout entier baigné dans le poème de la mère.
Scaphandrière toute éméchée d'algues subtiles, j'ai sondé ses abysses...
Disparue en mère...sans balises...
Et le regard du phare se fait sévère tandis que je persévéré...à me perdre en mère....marinée dans le raz-de-marée, aimantée par le mal de mère.
J'ai bu la mère et les poissons, ses bancs de requins marteaux, de murmurantes murènes, murailles de misère...
Mettre sa goutte d'eau dans la mère...autant vider la mère à la petite cuillère, si le tourteau n'a pas coupé l'ombilic naufragé.
Ma Mère de Thrace s'évapore sans trace, un dernier poème, l'adieu de la page blanche, Mère de Timor, silence quand t'es mort....La mère se retire, elle emporte ses bancs de requins, ses marées basses, ses trésors enfouis, épaves flottantes...
Écumé terres et mers, pères et mères...
Échouée sur d'antiques iles bondées d'histrions mâchouillant les rayons solaires, ventre bombé sur le sable souillé d'insolentes crèmes isolantes...
Naviguer Outre-mère...
Boussoles arrêtées, sextants entravés par d'antiques algues salines...
Au delà des mères, il y a encore le continent, à découvrir incontinent...les terres stériles, fertiles...fascinants mammifères terrestres à terrasser, à apprivoiser...
Literature
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A suivre, les mères du Sud, le texte d'origine
© 2012 - 2024 Anemathenae
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mais bon. tu sais ça.
j'ai une relation amour/haine avec la mer - plus amour que haine, remarque
j'ai une relation amour/haine avec la mer - plus amour que haine, remarque